Sur cette page, je viens vous présenter quelques un de mes coups de cœur, même si cela n’a rien à voir avec le sujet principal de ce site.

 

Zak Eazy et ses photomontages fantastiques

Je vous invite à découvrir le travail de M. Zack Eazy, le voyage en vaux vraiment la peine…

Zak Eazy, nous emmène en voyage dans des terres lointaines imaginées en mélangeant images réelles et créations digitales. Pour suivre le photographe, rendez-vous sur son lien Instagram.

J’ai découvert le travail de Zak Eazy en arpentant Instagram. Sur son compte zakeazy à plus de 10 000 abonnés, il partage des créations photographiques étonnantes mélangeant des images réelles avec ses propres visuels graphiques. Graphiste et artiste digital, il explore toutes les possibilités artistiques de la photographie en nous embarquant dans un univers onirique, parsemé par des inspirations apportées par des nombreux voyages.

 

Vous aimez l’histoire : Nota Bene et fait pour vous

 

Un animateur au top, avec une culture impressionnante et une bonne dose d’humour ; ajoutez à ceci des sujet variés et documenté.

Un must !

La vraie nature du nombre d’or

1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34…

Les lecteurs les plus perspicaces auront reconnu le début de la célèbre suite de Fibonacci, dans laquelle chaque nouveau terme est obtenu comme la somme des deux termes précédents, et connue pour ses liens avec le mythique nombre d’or

valeur exacte du nombre d’or.

Au début du XIIIe siècle, lorsque Leonardo Fibonacci introduit cette suite dans son traité « Liber Abaci » pour modéliser de manière très simplifiée l’évolution d’une population de lapins immortels, il ne se doute pas de l’importance qu’elle acquerra en mathématiques, au point qu’une revue scientifique lui sera entièrement consacrée quelques siècles plus tard (The Fibonacci Quaterly, créée en 1963).

Il n’avait probablement pas réalisé non plus que les termes de cette suite se retrouvent fréquemment dans la nature, non pas dans l’étude de la démographie des lapins… mais en botanique !

L’article complet : La vraie nature du nombre d’or
Publié sut The Conversation le 6 janvier 2022

Trois grands mathématiciens arabes méconnus et leur contribution

Sans ces scientifiques de la période nommée Islam Flamboyant notre monde scientifique ne se serait certainement pas aussi vite développé !

Je tiens à leur faire mon petit hommage ; après réflexion et recherche d’un texte original … je préfère laisser les liens vers la fiches Wikipédia (elles sont trop bien faîtes) :

Abu Abdallah Muhammad Ibn Jābir Ibn Sinan al-Ḥarrānī al-Battānī

Plus connu sous le pseudonyme Al-Batani.

Shaikh Mohammad Razaullah Ansari

Plus connu sous le nom de Alhacen.

Abu Kamil ibn Aslam ibn Mohammed

Aussi nommé Abu Kamil« 

Les 5 choses que l’on doit à Newton

Tout les monde connait Issac Newton, mais j’aimerai revenir sur 5 points qu’il nous à laissé :

La théorie universelle de la gravitation

Newton prouve que le mouvement de tous les corps – la pomme qui tombe de l’arbre ou les planètes qui tournent autour du Soleil – est régi par une même loi. Il publie en 1687 le premier modèle mathématique de la gravitation qui sert de base au développement de la mécanique newtonienne. Cette dernière est couramment utilisée par les ingénieurs, notamment pour calculer la trajectoire des vaisseaux spatiaux.

Le calcul infinitésimal

En 1669, ce féru de maths met au point une méthode pour calculer la tangente d’une courbe (calcul différentiel) et l’aire qu’elle délimite (calcul intégral). Ce sont les deux domaines du calcul infinitésimal, dont Newton partage la paternité avec Leibniz et Fermat. Sans cette branche des mathématiques, pas d’exploration spatiale ni de GPS pour nous guider.

La pièce de monnaie moderne

Nommé maître de la monnaie britannique en 1696, Newton démantèle un réseau de faussaires avec une main de fer. C’est même lui qui propose d’ajouter des cannelures sur la tranche des pièces : on ne peut donc plus les râper et récupérer discrètement de la matière précieuse pour refondre de nouvelles pièces… Ces stries sont toujours présentes sur notre monnaie.

La chatière

Misanthrope, Newton préférait la compagnie des animaux à celle des hommes. Selon la légende, il aurait popularisé la chatière : chez lui et à l’université de Cambridge, il perçait des trous dans les portes et les équipait d’un portillon pour laisser passer ses matous. Ainsi, il ne devait plus interrompre ses expériences, qui se déroulaient souvent dans le noir. Une invention qui n’a pas pris une ride.

Le télescope

Il révolutionne l’observation astronomique en inventant en 1668 le télescope à miroir, bien plus performant que les lunettes utilisées à l’époque. L’instrument offre une image plus nette et concentre la lumière grâce à un miroir, ce qui permet de voir des astres moins lumineux et plus lointains. C’est l’ancêtre des supertélescopes actuels qui sondent les tréfonds de notre galaxie.

Peut-on expliquer les échecs par les mathématiques et l’informatique ?

Publié sur The Conversation le 21 décembre 2021.

Les mathématiques classifient les jeux en catégories bien distinctes les unes des autres. Les jeux de hasard pur (pile ou face, loterie) ne laissent place à aucune stratégie, le vainqueur étant tiré au sort dans la liste des participants (éventuellement par l’intermédiaire de l’extraction spectaculaire de boules numérotées placées dans une urne, après que les joueurs ont chacun choisi une liste de numéros… ce qui ne remet pas en cause l’équiprobabilité de victoire de chaque joueur, mais leur donne seulement l’illusion d’infléchir la main du destin).

Le jeu d’échecs ne ressort pas de cette catégorie, encore qu’on puisse considérer, dans une certaine mesure, qu’une partie entre deux joueurs venant tout juste de découvrir les règles du jeu et disposant de facultés intellectuelles semblables puisse s’apparenter à une succession de parties de pile ou face, chaque joueur, sans idée préconçue sur le jeu, choisissant au hasard la pièce qu’il déplace dans le respect des règles du jeu.

Il existe des jeux de hasard raisonné comme la plupart des jeux de cartes (poker, bridge et tarot par exemple) et des jeux de dés (le backgammon en tête, pour lequel la faculté à évaluer les risques et anticiper les coups à venir fait toute la différence). Dans ces jeux, la qualité des cartes ou des dés distribués aux joueurs a une incidence sur le déroulement des parties, mais la manière d’utiliser une même main entraîne des issues parfois diamétralement opposées. Un excellent joueur sait optimiser le gain que lui apporte une très bonne main et minimiser la perte engendrée par une main médiocre. Au contraire, un joueur moyen n’utilisera pas toujours parfaitement une main forte et souvent de manière catastrophique une main médiocre. Sur le long terme, la loi des grands nombres (un résultat classique de « probabilités » en mathématiques) se vérifiant fatalement, le joueur expert (c’est-à-dire doté d’une science du jeu qui s’apparente à une mathématisation de celui-ci) remportera sensiblement plus de victoires que le joueur moyen et cela malgré les inévitables coups défavorables du sort.

Savoir choisir le meilleur coup

Le jeu d’échecs appartient à la catégorie des jeux de stratégie pure à somme nulle (le total des gains et des pertes des joueurs est nul : ce que l’un gagne, l’autre le perd) et dans lesquels l’information est complète (chaque joueur est informé, à chaque instant, de l’état de la partie, chaque coup est le choix du joueur et en aucune manière le résultat d’un hasard extérieur à sa volonté). À l’extrême limite, faute de dégager un coup meilleur que tous les autres, le joueur choisit parmi plusieurs qui lui semblent équivalents et c’est le seul moment où on peut considérer que le hasard entre en jeu.

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Il repose alors sur l’expérience du joueur et son style. Sur une même position des joueurs de même niveau pourront justifier leur choix avec logique sans pour autant qu’un coup soit nécessairement supérieur à un autre. Mais ne s’agit-il pas alors plutôt d’un défaut de connaissance du jeu ? Voilà ce qui distingue les joueurs d’échecs les uns des autres : savoir distinguer plus souvent, parmi les coups possibles, celui qui est meilleur que les autres ou du moins faire le tri entre ceux qui maintiennent l’équilibre vers la nulle (une partie où personne ne gagne) de ceux, plus complexes, qui déséquilibrent le jeu vers une position qui sera plus propice à amener un gain.

En « théorie des jeux », une branche récente des mathématiques, le théorème de Zermelo dit qu’aux échecs, de deux choses l’une : soit le joueur qui joue les pièces blanches a une stratégie gagnante, soit le joueur qui joue les pièces noires a une stratégie pour gagner ou mener à un match nul. Ernst Zermelo (mathématicien allemand, 1871-1953) a démontré que dans tout type de jeu du même genre que les échecs, l’un des deux joueurs a une stratégie gagnante ou alors, entre deux joueurs parfaits, le jeu se terminera toujours par une nulle. Ça ne nous avance pas beaucoup, mais c’est déjà cela.

La théorie des jeux a fait son entrée dans les mathématiques sérieuses au milieu du XXe siècle avec les travaux de John Nash (mathématicien américain, 1928-2015, dont le film Un homme d’exception romance l’histoire) et de John von Neumann (mathématicien hongrois puis américain, 1902-1957, qui travailla sur la bombe A), mais elle puise ses racines dans l’étude des probabilités qui a véritablement débuté au XVIIe siècle avec René Descartes, Pierre de Fermat et Blaise Pascal, entre autres, puis a connu un essor majeur à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle, principalement avec l’école russe de mathématiques (Pafnouti Tchebychev, 1821-1894, Andreï Markov, 1856-1922, puis Andreï Kolmogorov, 1903-1987), ainsi que dans la « théorie des graphes » dont Leonhard Euler (1707-1783, mathématicien suisse) fut un pionnier.

Cette théorie des jeux sert également de cadre à des problèmes d’ordre économique (quelle stratégie concurrentielle adopter pour maximiser les profits ? Pour minimiser les pertes possibles ?). L’algorithme du minimax permet théoriquement, après évaluation de toutes les possibilités pour un avenir proche (quelques coups d’une partie), de choisir le coup qui minimise la perte maximale. La justesse de cet algorithme est assurée par le théorème du même nom que l’on doit à von Neumann.

Le problème revient alors à bien évaluer la qualité d’une position, ce qui reste, concernant le jeu d’échecs, encore très difficile pour les débuts et milieux de partie : de même qu’en mécanique newtonienne une très faible modification des conditions initiales peut entraîner une évolution du système radicalement différente, aux échecs deux positions en apparence semblables peuvent mener à deux issues opposées. Cet algorithme ne peut être, pour un joueur humain, que d’un soutien tactique ponctuel, mais en aucune manière une aide stratégique décisive : la quantité de matériel disponible n’est pas si facile à évaluer (on convient de coutume pour simplifier que la dame vaut approximativement 9 ou 10, la tour 5, le fou et le cavalier 3 chacun et le pion 1, une réduction numérique aussi caricaturale est malheureusement trop grossière) et l’analyse de la position est encore bien plus délicate à mener.

La qualité de la position est difficilement mesurable. Le joueur humain ne peut pas appliquer l’algorithme minimax pour plus de quelques coups à l’avance, alors que la faculté de traitement de cet algorithme par une machine est en comparaison d’une profondeur presque infinie. L’humain a une stratégie, un plan de jeu, qui parfois va à l’encontre de cet algorithme alors que l’ordinateur n’a pas de stratégie, pas de plan de jeu, mais jamais qu’une tactique sur un temps plus long que l’humain. Le joueur et grand pédagogue Xavier Tartakover (1887-1956) disait que « la tactique consiste à savoir ce qu’il faut faire quand il y a quelque chose à faire. La stratégie consiste à savoir ce qu’il faut faire quand il n’y a rien à faire. »

Les joueurs d’échecs n’ont pas attendu l’arrivée de l’outil informatique pour codifier leur jeu et faire le tri parmi les coups disponibles, notamment lors des ouvertures (les premiers coups d’une partie) et lors des finales (les fins de partie). Par la répétition des expériences, il a été observé, par exemple, que débuter une partie en jouant le pion positionné devant la tour est un mauvais coup car il entraîne plus de défaites que de victoires. En cela, on peut considérer que les conventions d’ouverture et les finales de parties constituent des théorèmes échiquéens : comme en mathématiques, à partir de certaines hypothèses (l’état de la partie, la disposition des pièces et en particulier la structure d’une position avec un matériel réduit) et considérant que le joueur que l’on affronte jouera de manière optimale, c’est-à-dire sans faire d’erreur, tel coup mènera fatalement à une défaite alors qu’un autre conduira à une victoire.

Un nouveau joueur redoutable : l’ordinateur

L’essor de la science informatique et notamment le développement des réseaux de neurones a permis d’importants progrès dans ce domaine, avec un apprentissage de la machine par elle-même et détaché des idées préconçues de l’humain, fruits de siècles de pratique. Des coups jugés relativement faibles, voire absurdes, par les humains ont ainsi pu prouver qu’ils ne l’étaient pas tant que ça, mais surtout, la profondeur des ouvertures s’est accrue considérablement et a produit une théorie pléthorique, notamment pour la célèbre défense sicilienne évoquée plusieurs fois dans la série télévisée Queen’s Gambit (Le jeu de la dame). L’équilibre des forces entre joueurs instruits s’est prolongé sur bien plus de coups qu’auparavant. L’informatique a permis un nivellement vers le haut du niveau des très grands joueurs, mais certainement également une amélioration du niveau de tous les joueurs, chacun disposant, à domicile ou dans sa poche, d’un grand maître toujours disposé à jouer contre lui sous la forme d’un micro-ordinateur. Les ordinateurs ont montré des voies que les humains n’avaient pas envisagées.

À l’occasion du Championnat du monde qui vient de se terminer entre Magnus Carlsen et Ian Nepomniachtchi, on peut régulièrement entendre les commentateurs de cette confrontation de haut niveau évoquer des « coups d’ordinateurs » après le choix de l’un des deux joueurs, pourtant bien humains. C’est que ceux-ci s’entraînent massivement avec ceux-là.

L’informatique permet, en effet, de jouer mieux que quiconque sur Terre, en tout cas quand le temps est limité. Jusqu’à 1997, les meilleurs joueurs du monde étaient des êtres humains (presque) comme vous et moi, Gary Kasparov, Anatoly Karpov et Bobby Fischer en tête, pour ne citer que ces trois figures médiatiques du jeu d’échecs à une époque où la guerre froide commençait à peine à se réchauffer et pendant laquelle la suprématie échiquéenne mondiale était un des éléments (certes mineur) de la géopolitique mondiale tendue des années 1970 et 1980. Les ordinateurs étaient alors depuis déjà longtemps capables de battre n’importe quel joueur moyen, mais pas les meilleurs au monde.

Et puis est arrivé Deep Blue, un méga-ordinateur IBM. Deux rencontres spectaculaires ont été organisées entre cet ordinateur (entouré d’une véritable batterie d’ingénieurs à ses soins) et Gary Kasparov (lui-même entouré comme tout champion par quelques secondant : des assistants qui l’aident, lors des interruptions de parties ou entre deux d’entre elles, à analyser les coups joués, anticiper ceux à venir, étudier la bibliothèque de parties des grands maîtres et définir une stratégie). Après avoir emporté la première confrontation en 1996, le champion du monde d’échecs a perdu celle de 1997, dans des conditions confuses et controversées.

Depuis, il n’y a plus de débat : la machine (créée de main humaine, ne l’oublions pas) est la plus forte. Elle est mieux capable que nous de choisir les coups les plus efficaces, et cela de manière plus rapide. On ne peut plus lutter. La machine est-elle pour autant plus intelligente ? Il faudrait se mettre d’accord sur le sens qu’on accorde à ce mot et je ne glisserai pas dans cette direction. Un fait est sûr : les machines actuelles ne pensent pas. Elles effectuent, mécaniquement, des opérations répétitives et leur force est qu’elles les effectuent extrêmement vite. Pour arriver à un résultat équivalent, elles sont amenées à faire beaucoup plus de calculs que nous n’en faisons consciemment, mais comme elles vont beaucoup plus vite, ce n’est pas un handicap. Les machines sont plus efficaces, mais mieux : elles sont devenues nos professeurs (mais des professeurs qui n’expliquent rien et se contentent de montrer l’exemple) et semblent absolument imbattables.

Heureusement, comme tout professeur, elles ne sont a priori pas infaillibles et l’élève dispose encore (tant que l’ordinateur quantique dont on nous rebat les oreilles n’aura pas montré le bout de son nez) de l’espoir de battre le maître. Ou au moins d’arriver à distinguer, a posteriori, le dessein subtil qui se cache derrière de froides décisions numériques binaires.

Publié sur The Conversation le 21 décembre 2021.

Une courte histoire de l’ebook

Une petite histoire de l’e-book en 20 dessins sue Actualitté Les Univers du Livresici

 

Quelques illusions optiques pour torturer votre cerveau

 

En surfant sur le Web, j’ai trouvé quelques illusions d’optiques que je partage. Par contre je n’ai pas noté les sources et je m’en excuse auprès des auteurs !

Les lignes sont-elles parallèles ?

Expliquez-vous le solide ci-dessous ?

Et ce volume ?

Et cette illusion :

Voyez-vous les points gris à chaque intersection ?

La suivante me laisse sans voix

Quel cercle oranges est le plus grand ?

La longueur des flèches est-elle la même ?

Voyez-vous le volume (qui n’existe pas) ?

Ne tombez pas dans le trou !

J’adore cette figure !

Magique n’est-il pas ?

Fixez le point noir au centre et déterminez dans quel sens tourne les crans :

Petit article inintéressant : Illusions sensorielles : quand notre cerveau nous joue des tours
Publié sur Sciences & Avenir le 20 août 2022

 

Fabien Barrau, artiste digital, a imaginé les grandes villes du monde dans quelques dizaines ou centaines d’années face aux impacts du réchauffement climatique

Le photographe et artiste digital Fabien Barrau a imaginé les grandes villes du monde dans quelques dizaines ou centaines d’années face aux impacts du réchauffement climatique et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il y a de quoi s’inquiéter… 

Des montages pour éveiller les consciences

Une image vaut plus que mille mots, on peut le voir à travers les travaux de l’artiste digital français Fabien Barrau, qui a créé des photomontages de grandes villes mondiales, dont Paris, face à des représentations dramatiques du réchauffement climatique. Une réalité qui nous paraît lointaine, mais qui est pourtant bien réelle. Sur son compte Instagram, il a partagé une série de clichés instructifs ainsi que des photomontages censés représenter un aperçu du futur sur Terre. Ces clichés ont pour principal objectif de nous faire réaliser les effets désastreux du réchauffement climatique. On peut par ailleurs découvrir une image du Taj Mahal ou encore de la Statue de la Liberté sous les eaux ou encore le Colisée tombé en ruine dans un désert. Des scénarios qui font froid dans le dos, mais qui sont fortement probables dans les années à venir si le réchauffement climatique continue de s’aggraver…

L’ensemble de son travail est disponible : fabienbarrau

Une vidéo restaurée et colorisée nous plonge dans le Paris des Années Folles

Un travail remarquable lorsque l’on compare la qualité d’image de la vidéo d’origine, accessible sur le site Internet Archive. On y découvre tout de même les vues prises à l’époque par Elias Burton Holmes. Ce documentariste américain a parcouru le monde entier et demeure l’un des premiers à filmer des événements marquants tels que les expositions universelles ou les Jeux olympiques. Dans cette vidéo parisienne, il entrecoupe ses images de quelques commentaires personnels que Nass a décidé de retirer.

En cela, la vidéo originale est tout aussi intéressante à découvrir.

Trouvé sur Paris Zig Zag :
Une vidéo restaurée et colorisée nous plonge dans le Paris des Années Folles

ndrl : je suis habitant de la ville de Sceaux (92) et je vous conseil : La Gazette de Sceaux