L’intelligence artificielle et la littérature

« https://www.wired.co.uk/article/google-artificial-intelligence-poetry

« https://www.bbva.com/en/artificial-intelligence-made-way-literature/

« https://techthelead.com/artificial-intelligence-ai-poetry/

« https://futurism.com/artificial-intelligence-bad-poems

« https://medium.com/@DenisKrivitski/generation-of-poems-with-a-recurrent-neural-network-128a5f62b483

« https://actualitte.com/article/98923/trouvailles/une-intelligence-artificielle-capable-d-illustrer-des-poemes

Rédaction en cours …

Une intelligence artificielle capable d’illustrer des poèmes

Petit article publié sur Les Univers du Livre Actualité ; publié le 17 février 2021 par Antoine Oury

Animateur et artiste utilisant toutes les possibilités de l’informatique, l’Irlandais Glenn Marshall a développé une solution automatisée pour illustrer des poèmes. Il émerge des vers, lus et interprétés par la machine, des visualisations et animations étranges, à la limite de l’hallucination ou de l’œuvre expérimentale. Et, pour couronner le tout, un Christopher Lee recréé de manière numérique déclame les textes…

Maniant le code avec une certaine dextérité, Glenn Marshall s’est lancé dans le développement d’un générateur automatique d’images poétiques. Si la poésie est censée faire apparaître certaines images, à la lecture, dans l’esprit des mortels, pourquoi n’en serait-il pas de même pour les machines ?

Utilisant comme base Story2Hallucination, qui permet de transformer des textes en images, Glenn Marshall a soumis au programme le poème In the Bleak Midwinter (sur Youtube), écrit par la poétesse anglaise Christina Rossetti et publié pour la première fois en 1872. Pour ajouter un petit côté solennel, ou donner l’impression que le texte est lu par Saroumane en personne, Marshall a utilisé l’outil vo.codes pour faire intervenir Christopher Lee, ou plutôt sa voix de synthèse.

 

 

 

Maintenant, profitons du résultat :

Un coup de jeune à des stars des années 1980

Hidreley Diao s’est amusé, à l’aide d’une intelligence artificielle, à recréer les portraits juvéniles de célébrités des années 1980 et 1990. Curieux de savoir à quoi auraient pu ressembler Madonna, Whitney Houston ou encore Tina Turner à l’âge de 5 ans, il a réussi à transformer près de vingt visages de stars.

Le résultat est épatant de réalisme ; allez sur : I Turned These 20 Celebrities From The ’80s & ’90s Into Kids Again Using AI

Exemple avec Whitney Houston :

Des IA jouent à faire leur propre Eurovision

Après l’annulation du concours de l’Eurovision prévu à Rotterdam du fait de la pandémie ; les IA veulent concourir !

Cette année, l’édition 2020 aurait dû être la 65e, avoir lieu du 12 au 16 mai mais avec la pandémie de Covid-19, l’UER a décidé de tout annuler. ; c’est la première année depuis la création du concours en 1956 que celui-ci existe.

Sponsorisée par Vpro, un groupe audiovisuel public des Pays-Bas, la compétition est ouverte aux passionnés de musique choisis parmi des ingénieurs, des scientifiques spécialistes des données et des programmeurs informatiques. Au sein des élus, «cinq chercheurs spécialisés dans la modélisation, la visualisation et l’analyse de la musique par ordinateur, issus des universités d’Amiens et de Lille, qui défendront les couleurs de la France» face à une bonne partie de l’Europe, explique France 3 Région Hauts-de-Seine, dont les Pays-Bas, l’Allemagne, la Belgique, la Grande-Bretagne, la Suisse et la Suède.

Les règles :

Jusqu’au 10 mai 2021, le public choisit le titre qu’il préfère en notant quatre critères: l

  • a chanson en général,
  • les paroles,
  • l’originalité,
  • si le style correspond à ce qui est attendu d’un concours comme l’Eurovision.
  • un jury de spécialistes évaluera également la partie intelligence artificielle.

Les résultats seront annoncés deux jours plus tard. La chanson qui aura remporté le concours passera sur les ondes de la radio néerlandaise.

Voici deux exemples :

Popotte Duck, l’IA qui prévoit les menus de la famille

Toujours le même problème : Que faire à dîner ?

Popotte Duck vient à votre secours.L’application à appris à improviser des repas à partir des ingrédients disponibles dans le réfrigérateur et les placards. Une prouesse préparée dans l’arrière-cuisine d’un laboratoire universitaire lyonnais, le Liris, a demandé pas moins de deux ans de R&D.

Comment ça marche ?

Popotte Duck propose un service de planification de repas, adapté au régime alimentaire et au nombre de personnes de la famille, en fonction du contenu du réfrigérateur et des placards à victuaille. L’application, développée par la start-up lyonnaise du même nom. En étant capable d’improviser complètement des menus, pas seulement de remplacer un ingrédient manquant par un autre, et surtout de programmer dans le temps des repas équilibrés.

Deux ans de recherche avec un prestigieux laboratoire universitaire, le Liris, ont permis de mettre au point l’intelligence artificielle. Le principe est assez simple : « Nous avons constitué notre propre base d’apprentissage pour lui enseigner les règles de la cuisine, les combinaisons d’ingrédients et les principes nutritionnels. Elle réagit comme une mère ou un père de famille devant un placard, qui compose son plat sur le moment ». Pas de recettes préprogrammées, encore moins de techniques de chefs, mais de la « popotte » de tous les jours, dans l’esprit français.

Partenaires agroalimentaires

En attendant, l’application Popotte Duck, gratuite, a été téléchargée plus de 10.000 fois depuis son lancement en janvier 2020. Le modèle économique repose pour l’instant sur des partenariats avec des industriels agroalimentaires ayant une approche éthique correspondant aux  valeurs des concepteurs. Leurs marques seront mises en avant, à partir du mois de septembre, dans les propositions de listes de courses. On peut suivre ces suggestions ou pas, et y ajouter les ingrédients achetés de sa propre initiative : le logiciel s’adapte et gère les dates de péremption.

Et le futur ?

Internationalisation de l’application est l’enjeu de la deuxième version, en cours de R&D. L’internationalisation de la base d’apprentissage pour vendre, à terme, le logiciel sous licence à des industriels de l’électroménager, afin de le combiner avec des assistants de cuisson comme l’adaptation aux particularités culinaires des pays européens.

Et le futur ?

Internationalisation de l’application est l’enjeu de la deuxième version, en cours de R&D. L’internationalisation de la base d’apprentissage pour vendre, à terme, le logiciel sous licence à des industriels de l’électroménager, afin de le combiner avec des assistants de cuisson comme l’adaptation aux particularités culinaires des pays européens.

Pour du vécu, je vous propose de lire l’article suivant : J’ai testé Popotte Duck, l’appli qui improvise des recettes depuis mon frigo

 

Strormly : Turn Your Data Into Insights With A Single Click

Stormly : l’outil basé sur l’IA qui transforme les données en insights en un clic

Stormly is an AI-powered analytics platform for all small and medium-sized businesses. Stormly brings together a community of developers, data scientists and other professionals to offer a unique platform. The tool allows you to turn data into insights with a single click.

 

Stormly is very simple to use: you just have to choose a template among those proposed according to your needs; you can find for example :

  • basic reports
  • an analysis of the conversion of articles
  • Aha-moment
  • Customer LifeTime Value
  • Forecasting
  • Recurring revenue analysis
  • User and traffic analysis
  • A/B Testing
  • User Segmentation
  • Conversion Models
  • SaaS Metrics

Each template can be shared, reused and improved by others. All templates can be customized for specific industries or cases.

Stormly est une plateforme d’analyse alimentée par l’IA destinées à toutes les petites et moyennes entreprises. Stormly rassemble ainsi une communauté de développeurs, de data scientists et d’autres professionnels pour proposer une plateforme unique. L’outil permet ainsi de transformer les données en insights en un seul clic.

Le fonctionnement de Stormly est très simple : il suffit de choisir un template parmi ceux proposés en fonction des besoins ; on retrouve par exemple :

  • des rapports de base
  • une analyse de la conversion des articles
  • Aha-moment
  • Customer LifeTime Value
  • Prévisions
  • Analyse des revenus récurrents
  • Analyse des utilisateurs et du trafic
  • A/B Testing
  • Segmentation des utilisateurs
  • Modèles de conversion
  • SaaS Metrics

Chaque modèle peut être partagé, réutilisé et amélioré par d’autres personnes. Tous les templates peuvent être personnalisés pour des secteurs ou des cas particuliers.

Le plus simple est de vous rendre sur le site Stormly

Une démo gratuite est disponible

Merci à l’intelligence artificielle, vous pouvez désormais converser avec le clone virtuel d’Albert Einstein

Grace à la société UneeQ qui a conçu une réplique très réaliste du célèbre savant qui peut interagir en temps réel et en langage naturel avec les utilisateurs.

Digital humans in action

Right now, digital humans are being deployed as brand ambassadors, digital influencers, customer support representatives and healthcare advisors to name a few. Everything from their unique appearance to their personalities are being co-designed to create the most positive, lasting impact on users.

Customer assistant

Health insurance needs a human touch, on any device, and at any time. Find out how Southern Cross Health Society created their digital human customer assistant.

Sales concierge

When retail went digital, the human touch became a greater (and rarer) commodity. Here’s how digital humans are changing what’s possible.

Financial advisor

When time is money, UBS’s Chief Economist found he could do a lot more with an AI-powered digital human meeting his clients, too.

Healthcare coach

Digital humans get to the heart of the most serious healthcare challenges, including staff burnout and health illiteracy.

Digital influencer

Influencers are human, and humans aren’t scalable…until you start seeing the value of being recreated as a digital human influencer.

Digital barista

Some digital human innovations are going to change the world, while others can be as simple as making a cup of coffee.

Cet Einstein virtuel, très réaliste, ne se contente pas de se manifester sous la forme d’une simple vidéo. Il peut aussi interagir avec les internautes qui se rendent sur le site Digital Humans. Grâce à l’intelligence artificielle, vous pouvez lui poser des questions de vive voix, mais uniquement, en anglais, sur sa vie et son œuvre. Vous pouvez aussi jouer avec lui à un quiz, qui est modifié tous les jours, voire l’interroger sur des sujets scientifiques ou mathématiques.

Cette démonstration permet à la société UneeQ de montrer son savoir faire dans le domaine de chatbots qui remplacent les austères fenêtres de texte par des êtres humains virtuels, avec qui vous pouvez converser en langage naturel.

Et si vous trouvez Einstein trop vieux et pas assez séduisant, vous pouvez toujours aller converser avec un autre être numérique proposé sur le site..

Sony IA présente une IA qui prédit les associations culinaires

Dans le cadre d’un partenariat ‘gastronomique’ entre l’Université de Corée et Sony AI, un projet a été mené visant à améliorer les connaissances autour des accords de saveurs entre plusieurs ingrédients. De cette étude est née FlavorGraph, une application de cartographie des ingrédients. L’intelligence artificielle est utilisée afin de créer des associations de produits donnant des saveurs inédites ou bien connues du grand public.

Among the partnerships we’re setting up to drive our Gastronomy Flagship Project, we’re excited that our work with Korea University (KU) is already pushing our understanding of how AI can meaningfully pair ingredients. A project looking to advance flavor pairing knowledge has resulted in an ingredient mapping tool called FlavorGraph.

Generally speaking, FlavorGraph predicts the pairing fit of two ingredients by combining information on the molecules in a given ingredient with the way people have used that ingredient in the past: as such, FlavorGraph sits on the data of 1,561 flavor molecules and of a million recipes.

The outcome is pairing suggestions that achieve better results than ever before. These suggestions can be used to predict relationships between compounds and foods, hinting at new and exciting recipe techniques and driving new perspectives on food science in general.

In this blog, we thought we’d go a little way into the context of the project and of the ingredient pairing science in general!

Source : FlavorGraph

Parmi les partenariats que nous mettons en place pour mener à bien notre projet phare sur la gastronomie, nous sommes ravis que notre travail avec l’Université de Corée (KU) nous permette déjà de mieux comprendre comment l’IA peut associer les ingrédients de manière significative. Un projet visant à faire progresser les connaissances sur l’association des saveurs a donné naissance à un outil de cartographie des ingrédients appelé FlavorGraph.

D’une manière générale, FlavorGraph prédit l’adéquation de deux ingrédients en combinant des informations sur les molécules d’un ingrédient donné avec la manière dont les gens ont utilisé cet ingrédient dans le passé : FlavorGraph s’appuie sur les données de 1 561 molécules aromatiques et d’un million de recettes.

Il en résulte des suggestions d’association qui donnent de meilleurs résultats que jamais auparavant. Ces suggestions peuvent être utilisées pour prédire les relations entre les composés et les aliments, ce qui laisse entrevoir des techniques de recettes nouvelles et passionnantes et ouvre de nouvelles perspectives sur la science alimentaire en général.

Dans ce blog, nous avons pensé approfondir le contexte du projet et de la science des associations d’ingrédients en général !

FlavorGraph explained

FlavorGraph extracts relationships between food items from a million food recipes, analyzing how chefs and recipe creators have brought ingredients together; and it combines these with information for 1,561 flavor molecules.

Such a graph enables analysis of the chemical and statistical relationships between ingredients, allowing the team to better represent the foods.

FlavorGraph expliqué

FlavorGraph extrait les relations entre les aliments à partir d’un million de recettes, en analysant la façon dont les chefs et les créateurs de recettes ont associé les ingrédients, et il les combine avec les informations relatives à 1 561 molécules d’arômes.

Un tel graphique permet d’analyser les relations chimiques et statistiques entre les ingrédients, ce qui permet à l’équipe de mieux représenter les aliments.

Ingredient pairing in the future

As well as relationships between food ingredients and flavor compounds that have not been explored before, the FlavorGraph research will allow greater flexibility for matching single or multiple ingredients to many others.

As the science develops and we get ever better representations of food, we should discover more and more intriguing pairings of ingredients, as well as new substitutes for ingredients that are either unhealthy or unsustainable.

So we hope that projects like this will continue to complement both the complex ingredient systems fossilized over time through cultural evolution, as well as the electric ingenuity of modern innovators and chefs.

 

And in addition to individual ingredient pairings, analysis like FlavorGraph will help us to discover new recipes, changing the way we eat forever.

L’association d’ingrédients à l’avenir

Outre les relations entre les ingrédients alimentaires et les composés aromatiques qui n’ont pas encore été explorées, la recherche FlavorGraph permettra une plus grande flexibilité pour associer un ou plusieurs ingrédients à de nombreux autres.

À mesure que la science se développe et que nous obtenons des représentations toujours meilleures des aliments, nous devrions découvrir de plus en plus d’associations intrigantes d’ingrédients, ainsi que de nouveaux substituts aux ingrédients qui sont soit malsains, soit non durables.

Nous espérons donc que des projets comme celui-ci continueront à compléter à la fois les systèmes d’ingrédients complexes fossilisés au fil du temps par l’évolution culturelle, ainsi que l’ingéniosité électrique des innovateurs et des chefs modernes.

Et en plus des associations d’ingrédients individuels, des analyses comme FlavorGraph nous aideront à découvrir de nouvelles recettes, changeant à jamais notre façon de manger.

PrédictOps : un outil qui permet de prévoir les interventions des pompiers

Après avoir vu le reportage sur France Info ; j’ai fais quelques recherches … sans rien trouver !
Néanmoins j’affiche quand même cette section.

Les pompiers du Doubs et le laboratoire Femto-ST, installé à l’IUT de Belfort Montbéliard, ont travaillé sur une intelligence artificielle permettant de prédire les interventions des forces de secours. Baptisée PrédictOps, cette technologie inédite peut s’avérer révolutionnaire.

Le but

“Est-il possible de prédire le nombre, la nature et le lieu des futures demandes de secours ?” C’est la question à laquelle ont tenté de répondre les équipes qui travaillent sur ce projet depuis 2018. Le SDIS du Doubs ainsi que les chercheurs du laboratoire franc-comtois Femto-ST (Franche-Comté Electronique Mécanique Thermique et Optique – Sciences et Technologies), accompagnés de Selene Cerna, data-scientist originaire du Pérou, chercheuse à l’université de Sao Polo au Brésil et spécialisée dans l’intelligence artificielle, ont fait naître le système PrédictOps, validant ainsi un rêve un peu fou. Le but ? Améliorer l’organisation et la capacité d’intervention du SDIS 25 qui effectue chaque année environ 40 000 interventions sur tout le département du Doubs. L’innovation est majeure et n’avait jusqu’à présent jamais été développée dans l’univers du secours.

“L’aventure débutée en 2018 a pris un nouveau tournant en 2019, quand nous avons constaté que les résultats étaient très intéressants. On est à environ 96% de fiabilité pour des prédictions à +1h. Nous, ce qui nous intéresse, c’est d’affiner ces données-là, sur le plan territorial par exemple. Plus vous affinez, plus vous êtes performants” nous explique le commandant Guillaume Royer-Fey, pilote métier de PrédictOps au SDIS 25, qui a plongé avec enthousiasme dans le grand bain de l’intelligence artificielle, technologie regroupant l’ensemble des techniques capables de simuler l’intelligence humaine.

« Prépositionner des ambulances »

En effet, PrédictOps intègre 1200 variables allant par exemple de l’éphéméride aux prédictions météorologiques ou au trafic routier, permettant ainsi d’affiner la probabilité qu’un événement nécessitant un secours se produise, dans un lieu donné. Le commandant Guillaume Royer-Fey nous donne un exemple : “On voulait savoir s’il était possible de prépositionner des ambulances à certains endroits, avant qu’un événement cardiaque se produise par exemple. On y arrive sur Besançon et ce qu’on aimerait, c’est que le système réussisse à le faire à l’échelle d’un quartier.”

PrédictOps est donc un outil basé sur l’exploitation d’une masse de données, permettant de prédire quelle sera l’activité opérationnelle future en fonction de celle passée et de variables contextuelles.

Participer à l’évolution des politiques publiques

Dans l’avenir, les pompiers espèrent pouvoir prédire les feux de forêts, dans tout l’hexagone, et ainsi mieux organiser leurs opérations et leurs effectifs. Ce système financé par les institutions publiques pourra ainsi être généralisé à l’ensemble des SDIS de France. Une technologie inédite made in Franche-Comté.

“On essaie aussi de faire des prédictions fiables à +3 ans par exemple. Cela relève de la sphère stratégique et permettra de participer à l’évolution des politiques publiques en fonction de la nature d’intervention dans le futur” détaille Guillaume Royer-Fey, visiblement fier de participer à une oeuvre pour le bien commun et reconnaissant d’avoir pu bénéficier d’aides afin de mener à bien ce projet novateur.

Passer à la troisième partie de ce sujet : IA le fun – 3