Quelques images de Google Street View ; juste pour sourire…

 

D’autres image rigolotes sur le site de Jon Rafman ou sur 30 drôles de trucs capturés dans Street View

 

Juste pour se détendre :

Google Traduction devient plus performant grâce à l’intelligence artificielle

Maintenant Google Traduction se dope à l’intelligence artificielle pour proposer des traductions plus contextualisées.

L’intelligence artificielle est sur toutes les lèvres depuis quelques années maintenant et plus encore ces dernières semaines, avec l’émergence de ChatGPT et l’implication des deux géants de la tech que sont Microsoft et Google, avec ses propres solutions. Aujourd’hui, d’ailleurs, c’est la firme de Mountain View qui fait parler d’elle, et plus précisément, le service Google Traduction qui s’offre une amélioration importante grâce à l’IA.

Google Traduction se dope à l’intelligence artificielle

Google Traduction va bientôt se retrouver dopé à l’intelligence artificielle. Dans les prochaines semaines, vous pourrez obtenir des traductions plus précises, notamment pour les mots ayant plusieurs définitions. L’application offrira des options de traduction contextuelles supplémentaires, le tout avec des descriptions et des exemples.

Disons, par exemple, que vous cherchez la traduction du mot “row”, qui peut avoir plusieurs sens. Cela peut faire référence à une dispute, une rangée de sièges dans un avion ou même à prendre une rame pour faire avancer un bateau. Google Traduction offrira bientôt les traductions de toutes ces variantes, avec des exemples d’utilisation.

Le but est de proposer des traductions plus contextualisées

Google explique que l’application fournira “le contexte dont vous avez besoin pour traduire précisément et utiliser le bon mot dans la phrase, l’idiome ou plus globalement votre intention.” Si tout fonctionne comme attendu, ceci devrait vous aider à communiquer plus clairement dans une langue différente. Ces traductions contextualisées améliorées seront disponibles dans les jours à venir pour plusieurs langues, dont l’anglais, le français, l’allemand, le japonais et espagnol. D’autres suivront certainement.

Dans le même temps, l’entreprise a récemment déployé un nouveau design pour Traduction sur Android. Celui-ci arrivera bientôt sur l’app iOS. Cette nouvelle interface introduit davantage de gestes pour simplifier l’utilisation, y compris un accès facile à la sélection de la langue et la possibilité de balayer pour faire apparaître les traductions récentes. Google explique que les traductions sont aussi, désormais, plus facilement lisibles, et 33 nouvelles langues deviennent accessibles dans la traduction en local, dont le basque, le hawaïen, le hmong, le kurde, le soundanais, le yiddish et le zoulou.

Google de plus en plus bousculé par ChatGPT ?

Une IA qui rend la manipulation de photos bien trop facile

Avec plusieurs équipes d’universitaires, Google présente, DragGAN, une IA qui représente certainement l’avenir de la retouche photo.

 

Introduction

Les chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, du MIT, du Saarbrücken Research Center for Visual, de l’Institut Max Planck et de Google ont publié un papier pour présenter DragGAN, un outil basé sur l’IA qui utilise les réseaux adverses génératifs pour créer ou modifier une image de façon très réaliste. Selon eux, les approches permettant de manipuler et/ou de créer des images actuellement « manquent de flexibilité et de précision ».

Leur invention propose un moyen interactif de contrôler les GAN (pour réseaux antagonistes génératifs) en faisant glisser des points pour atteindre des positions cibles. Ces manipulations permettent de contrôler la pose, la forme, l’expression et la disposition des différents objets, humains ou animaux avec précision. Mieux encore, DragGAN effectue ces opérations en temps quasi réel, et crée même du contenu qui n’existe pas originellement, pour combler les déformations générées par la distorsion de l’image.

DragGAN est un logiciel de retouche dopé à l’IA créé par Google

Google, par la grâce de l’Intelligence artificielle, va permettre à tout un chacun de retoucher des photos de manière très instinctive. Une opération qui pouvait auparavant prendre plusieurs heures à des graphistes chevronnés est désormais à portée de clic. Les démonstrations disponibles sur le site des scientifiques sont impressionnantes.

Les graphistes devront s’adapter et intégrer cette nouvelle technologie, s’ils ne veulent pas être mis au chômage, eux aussi, par l’Intelligence artificielle.

Au niveau du grand public, DragGAN a certainement piqué la curiosité de millions d’internautes. À l’heure qu’il est, le site où l’on peut consulter le papier des chercheurs croule sous les visites, à tel point qu’il faut parfois patienter pour qu’il s’affiche.

Voici l’outil de Google pour générer des musiques par IA

MusicLM est un générateur de musique basé sur l’intelligence artificielle développé par Google.

L’outil en ligne permet de générer une musique de haute qualité (24 kHz), à partir d’un simple prompt.

 

Les possibilités de MusicLM

MusicLM est un générateur de musique basé sur l’intelligence artificielle développé par Google. L’outil en ligne permet de générer une musique de haute qualité (24 kHz), à partir d’un simple prompt.

À chaque requête textuelle, vous pouvez préciser :

  • Le genre musical : jazz, pop, techno, électro, rock, country…
  • Le type d’instrument : guitare, piano, flûte, violon…
  • L’ambiance : festive, décontractée, mystique, étrange, pesante…
  • Le lieu : opéra, plage dans les Caraïbes, spectacle de rue…
  • L’époque : médiévale, années 80, années 2000…
  • Le niveau de complexité : musicien débutant, intermédiaire, professionnel, etc.

Vous pouvez également combiner plusieurs styles musicaux et instruments, en précisant la durée de chaque genre musical, et leur ordre d’apparition dans le morceau.

Ensuite, MusicLM génère deux morceaux différents, qui peuvent durer jusqu’à plusieurs minutes. Il vous suffit de sélectionner votre préféré, puis de le télécharger pour obtenir votre bande sonore personnalisée.

En faisant un choix, cela permet également à Google de mieux comprendre vos attentes, et d’améliorer son IA en conséquence.

A cette heure, MusicLM est en phase de bêta. Vous pouvez vous inscrire sur la liste d’attente pour obtenir un accès anticipé

Lyria, un grand modèle dont la spécialité est de générer de la musique de bonne qualité

Voici le résultat..

Deux applications ont été mises au point.

La première est Dream Track, qui permet de créer de la musique pour illustrer les Shorts de la plateforme vidéo.

La seconde est Music AI, une boîte à outils à visée plus large pour aider les créateurs à concevoir de la musique.

Dream Track, d’ores et déjà accessible à une poignée de créateurs YouTube, a été conçu pour produire des bandes sons uniques avec des voix de synthèse et dans le style d’artistes comme Alec Benjamin, Charlie Puth, Charli XCX, Demi Lovato ou encore John Legend (tous ont bien sûr accepté de prêter leurs voix).

L’utilisateur saisit la requête textuelle en indiquant quelle voix doit illustrer le morceau, et voilà une bande son de 30 secondes pour un Short. Le modèle Lyria génère à la fois les paroles, l’accompagnement musical et la voix.

Les exemples donnés par Google sont troublants de réalisme :

Music AI est une suite d’outils destinée aux artistes, aux compositeurs et aux producteurs.

Il s’agit ici de concevoir un morceau de A à Z en transformant une base vocale (ça peut être de simples marmonnements) ou un clavier MIDI en instrument de musique, en chœur ou en accompagnement vocal de très bonne qualité.

En gros, créer de la musique ou des sections instrumentales à partir de rien.

Et là aussi, les résultats sont étonnants :

Quand on parle de musique générée par IA, la question des droits d’auteur se pose immanquablement.

Les outils de DeepMind ont été développés en partenariat avec l’industrie de la musique. Et les contenus générés par Lyria seront filigranés avec SynthID, la même technologie dévoilée en août dernier pour détecter les images IA.

Le watermark sera inaudible à l’oreille, tout en restant traçable. La génération de musique par des modèles d’intelligence artificielle inquiète plus qu’elle n’emballe, mais l’industrie — des technologies comme du disque — semble bien décidée à aller de l’avant.

Une petite pause avec deux bandes annonces détournées

Home Alone as a Quentin Tarantino Film

D’autres bandes annonces détournées sur : Yellow Medusa

Google associe poèmes et IA dans son app Arts & Culture

Google met à jour son application Arts & Culture pour permettre à ses utilisateurs de créer des cartes postales poétiques à partir d’œuvres d’art ou de sujets variés. Comment ? Grâce à la magie de l’IA, bien évidemment.

La poésie n’est pas forcément donnée à tout le monde, qu’elle soit sous forme versifiée ou en prose. S’il était déjà possible de demander à ChatGPT de rédiger des poèmes « à la façon de » Baudelaire ou de Lamartine par exemple, Google va plus loin. Son modèle d’IA intégré à l’application Arts & Culture peut générer un poème en s’inspirant d’une peinture et créer une carte postale en associant les deux.

Quand l’IA s’imagine poète

La nouvelle fonctionnalité de l’application permet de choisir différents styles d’écriture poétique : sonnets classiques, haïkus ou vers libres par exemple. L’utilisateur a le choix ensuite de partir de milliers d’œuvres d’art célèbres (comme La Nuit étoilée de Van Gogh ou Pluie, Vapeur et Vitesse de Joseph Turner) ou d’un sujet de son choix pour que l’IA se mette à rédiger.

L’intelligence artificielle fonctionne en exploitant le modèle linguistique créé par Google, PaLM 2. C’est ce même modèle qui alimente le chatbot Bard. Celui-ci est capable d’analyser l’œuvre picturale ou le sujet choisi pour composer ensuite un texte qui sera le reflet du thème de la peinture. Dernière étape, celle-ci crée une carte postale poétique qui peut être enregistrée et partagée.

Exploration culturelle enrichie

Google ne s’est pas contentée de l’intégration de cette nouvelle feature dans son application. La refonte intègre aussi d’autres fonctionnalités qui pourront intéresser les fans d’art. Un nouvel onglet « Play » fait son apparition. Celui-ci propose des outils plutôt amusants comme Art Selfie ou Art Filters, qui permettent de se prendre en photo et de savoir si vous ressemblez à des portraits présents dans des tableaux. Des jeux font aussi leur apparition comme Viola the Bird, un jeu musical avec un oiseau qui joue du violoncelle, et Blob Opera, qui vous permet de faire chanter quatre créatures en les intégrant à divers endroits du monde. Ces deux jeux sont dopés au machine learning, ce qui rend l’expérience plutôt amusante.

Une autre section baptisée « Inspire », à la manière de l’application TikTok, vous propose un flux personnalisé qui vous présente des événements culturels importants sous forme de petites vidéos. Pas mal pour faire un peu d’Histoire sans trop se prendre la tête.

Certains diront que c’est un peu gadget, mais ne pourront pas nier que Google innove et explore des endroits que d’autres entreprises n’osent jamais fouler. Son application Arts & Culture, déjà très avancée, se transforme doucement en une vraie petite vitrine interactive, ouvrant une fenêtre de manière ludique sur le monde de l’art.

Article source : Google associe poèmes et IA dans son app Arts & Culture
Publié sur Clubic par Camille Coirault le 13 août 2023

Quelques articles supplémentaires

 

Les 13 astuces cachées dans la recherche Google

Vous l’utilisez tous les jours mais pourtant, vous ignorez sûrement toutes les surprises qu’il cache.

 

Retourner en 2017

Ah, l’époque des hand spinners… Vous détestiez en voir partout, mais au fond, ils vous manquent. Ça tombe bien : en tapant “spinner” dans Google, vous retrouvez le célèbre gadget et pouvez le faire tourner à l’infini.

Avoir – presque – le rythme dans la peau

Besoin d’un petit coup de pouce pour chanter ou jouer d’un instrument dans le temps ? Hop, on lance la recherche “métronome”, on choisit son BPM, et c’est parti pour le solo de guitare.

Détrôner Bob le bricoleur

Ça y est, vous avez retroussé vos manches et vous potassez des tutos de bricolage pour réaliser votre enduit de mur à la chaux. Mais maintenant, il faut y accrocher tableaux et autres étagères, le tout le plus DROIT possible. Tapez “niveau à bulle” sur votre smartphone et devenez le meilleur bricolo du dimanche.

 

 Ressuscitez votre Nokia 3310 – et les bornes d’arcade

Ce moteur de recherche propose aussi une belle sélection de jeux, comme le célèbre Snake – plus coloré que celui de votre Nokia. Tapez “Snake jeu” pour y accéder, puis quand vous vous ennuyez, “démineur”, “morpion jeu”, “jeu de mémoire” ou “Pac-Man” pour varier les plaisirs.

Limiter la recherche à un seul site

Envie de savourer tous les articles de Konbini sur le désormais feu Skyblog ? Rien de plus simple : il suffit d’ajouter la requête “site:konbini.com” à votre recherche pour retomber en adolescence et se sentir l’âme nostalgique. Franchement, c’est trop pratique !

Virer les résultats hors sujet

Parfois, on tape un mot ou un nom, et on se retrouve avec des résultats dont on n’a jamais voulu. Imaginons que vous êtes fan d’Harry Styles, et qu’en tapant “Harry” dans la barre de recherche, vous vous retrouvez avec pléthore de résultats sur… le prince Harry. Enquiquinant. Il vous suffit d’accoler la requête “-prince” à “harry” et hop, vous êtes débarrassé du duc de Sussex. Bon, par contre, désormais, le premier résultat vous diriger vers le jeu télévisé éponyme diffusé sur France 3.

Rester zen

Petit coup de chaud ? Même pas besoin de Petit Bambou : tapez juste “exercice de respiration” pour inspirer et expirer dans la zénitude la plus totale.

Prendre une décision existentielle

Pas de pièces sous la main pour jouer une décision ultra-importante à pile ou face ? Indiquez juste “pile ou face” dans la barre de recherche et lancez virtuellement une jolie pièce en argent.

Jouer aux dés

Envie de prendre une décision un peu plus complexe avec un dé ? Demandez tout simplement à Google de “lancer le dé” et vous pourrez faire jouer le hasard avec celui de votre choix. De 4 à 20 faces, il y en a pour tous les goûts – et on peut en lancer beaucoup en même temps. Genre, vraiment beaucoup.

Dire bye-bye aux fausses notes

Ça y est, vous jouez dans les temps mais vos notes sonnent faux ? Tapez “accordeur d’instrument” et faites vos petits réglages – les oreilles de vos voisin·e·s vous remercieront.

Apprendre plein de mots pour se la péter en soiré

Vous ne comprenez pas un mot et vous avez la flemme d’ouvrir le dico Larousse qui fait trois fois votre poids ? Inscrivez simplement la requête “define:” avant le terme en question et les portes merveilleuses de la culture s’ouvriront à vous.

Idem pour traduire les termes que vous ne connaissez pas : précisez “traduire:” avant n’importe quel mot et vous voilà bilingue.

Calculer plus vite que la calculatrice

Votre antique Casio (ou autre marque) se cache au fond d’un tiroir et vous n’êtes pas le Jimmy Neutron du calcul mental ? Tapez tout simplement n’importe quelle équation dans la barre de recherche et Google vous donnera le résultat.

L’histoire de Google condensée en 26 anecdotes

  • April’s Fools : développé pendant trois ans, Gmail est officiellement dévoilé le 1er avril 2004. Une date de lancement qui interroge les médias généralistes et spécialisés, qui pensent initialement qu’il s’agit d’une blague du 1er avril. D’autant qu’à l’époque Gmail dispose d’un avantage invraisemblable : un espace de stockage de 1 GB, soit cinq cent fois la capacité offerte par Hotmail.
  • Bard : envisagé comme une réponse à ChatGPT, Google Bard est officiellement déployé en France en juillet 2023. Capable de répondre à des questions, écrire un article ou rédiger du code, l’agent conversationnel est également étroitement lié à la fonction recherche. Il est capable de puiser dans des données actualisées issues du web pour générer ses réponses et citer ses sources, contrairement à son concurrent.
  • Cimetière : plus de 280 projets abandonnés par la firme sont répertoriés dans « Killed by Google » : un cimetière en ligne où l’on retrouve des produits ou services oubliés, mais aussi des reliques d’une autre époque telles que Picasa, Google Reader ou le réseau social Google+.
  • Doodles : le logo de Google a été détourné plus de 5 000 fois par des Doodles, ces illustrations statiques ou animées qui sont affichées temporairement sur la homepage. Plus de 7 000 propositions d’artistes sont enregistrées chaque année par la firme de Mountain View, qui tient un registre répertoriant l’ensemble des illustrations exposées sur sa page d’accueil.
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Le premier détournement du logo date de 1998, et rappelait aux utilisateurs que Larry Page and Sergey Brin s’étaient absentés pour assister au Burning Man. © Google

  • Eric Schmidt : recruté en 2001, il assume la fonction de PDG jusqu’en 2011 et pilote notamment l’introduction en bourse de Google, le rachat de YouTube ou la création de services comme Gmail, Docs ou Sheets. Lors de sa nomination, Sergey Brin avait confié que l’entreprise, alors florissante, avait besoin de « la supervision d’un adulte ».

 

  • Fun Facts : depuis 2015, Google propose une fonctionnalité « le saviez-vous », qui se matérialise concrètement par un encart qui s’affiche en haut de la page des résultats de recherche à chaque fois que l’utilisateur saisit la requête « fun facts » ou « I’m feeling curious ».
  • Gogol : si Google se nommait initialement BackRub, Larry Page et Sergey Brin optent finalement pour un dérivé de googol, ou gogol en français, un terme mathématique qui désigne le nombre 10, puissance 100.
  • Home : commercialisée en 2017 pour concurrencer Amazon Echo, l’enceinte intelligente Google Home a rapidement convaincu, s’écoulant à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires, mais également suscitée la controverse. Notamment lorsqu’un journaliste s’est aperçu, par hasard, que l’appareil enregistrait les sons de son appartement même lorsqu’il était désactivé.
  • I/O : organisée annuellement par la firme de Mountain View, cette conférence lui offre l’opportunité de présenter ses dernières innovations. En 2023, Google a, par exemple, révélé ses avancées en matière d’IA générative et dévoilé Duet AI, un assistant virtuel intégré aux applications de Google Workspace.
  • J’ai de la chance : initialement conçue pour mener l’utilisateur sur la première page apparaissant dans les résultats de recherche, la fonction propose désormais des requêtes aléatoires, telles que « J’ai faim », « J’aime l’aventure » ou « Je veux des étoiles ».
  • Knol : lancée par Google pour concurrencer Wikipédia, la plateforme aspirait, à l’origine, à « mettre en lumière des auteurs » reconnus grâce au traitement exhaustif d’une variété de sujets, afin d’aider « considérablement les utilisateurs à faire un meilleur usage du contenu web », selon un blog post datant de 2007. Mais Knol n’a jamais concurrencé Wikipédia et a été officiellement fermé en 2012.
  • Larry Page et Sergey Brin : cofondateurs de Google, les deux hommes ont longtemps occupé une position stratégique dans l’entreprise ou au sein de sa maison-mère Alphabet, qui regroupe toutes les filiales. Depuis 2019, ils ont pris du recul, mais siègent toujours au conseil d’administration.
  • Mozzarella : la cession de YouTube, pour la coquette somme de 1,65 milliard de dollars, a été négociée en dégustant des bâtons de mozzarella au Denny’s, une célèbre chaîne de restauration rapide. C’est en tout cas ce qu’affirme le cofondateur de la plateforme, qui a raconté cette anecdote en 2011 au média américain TechCrunch.
  • NASA : en 2007, plusieurs journaux révèlent que Sergey Brin et Larry Page disposent d’une piste d’atterrissage pour leurs jets privés à Moffett Field, un aéroport civil et militaire géré par la NASA. Coût de la place de parking ? 1,3 million de dollars par an.
  • Outils cachés : Google propose de nombreuses fonctionnalités cachées, auxquelles l’internaute peut accéder en saisissant la bonne requête. En quelques clics, il est ainsi possible de tester sa connexion internet, organiser un tirage au sort ou réaliser une conversion.
  • PageRank : conçu par Larry Page, PageRank est l’astucieux système permettant de classer, trier et hiérarchiser les résultats dans le moteur de recherche. Cet algorithme, qui est resté largement confidentiel, explique en grande partie le succès du moteur de recherche.
  • Quiz : fréquemment utilisé pour la création de formulaires et d’enquêtes en ligne, le service Google Forms propose également une fonctionnalité divertissante permettant de créer un quiz et d’y associer un corrigé.
  • Reader : débranché le 1er juillet 2013, Google Reader était l’un des agrégateurs de flux RSS les plus populaires du marché. Selon un employé de Google, qui s’est confié à The Verge, la fermeture du service a été stratégiquement annoncée le jour de l’élection au pontificat du Pape François, afin que la nouvelle passe inaperçue.
  • Susan Wojcicki : le 4 septembre 1998, Google installe ses bureaux dans le garage de Susan Wojcicki, qui deviendra la première directrice marketing de l’entreprise. Elle occupera de nombreuses fonctions par la suite, dont celle de PDG de YouTube entre 2014 et 2023.
  • T-Rex Game : conçu par quatre employés pour « réduire la frustration des utilisateurs lorsqu’une requête n’aboutit pas », selon un développeur français ayant participé au projet, le « jeu du dino » revendiquait plus de 270 millions de joueurs chaque mois en 2018. Pour comparaison, 90 millions de joueurs se connectent mensuellement à Call of Duty.
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Le T-Rex Game ou Chrome Dino a été développé par quatre employés, dont deux français. © Google
  • Université de Stanford : Sergey Brin et Larry Page se rencontrent, à l’été 1995, sur les bancs de la prestigieuse université californienne, d’où ont émergé de nombreux dirigeants de la Silicon Valley. C’est, d’ailleurs, le serveur privé de la faculté qui a hébergé la première version du moteur de recherche en 1996.
  • Versace : selon Eric Schmidt, le développement de Google Images aurait été initié, en 2000, suite à la constatation d’un nombre anormalement élevé de requêtes relatives à la robe Versace portée par la chanteur Jennifer Lopez lors de la soirée des Grammy Awards. « À l’époque, il s’agissait de la requête de recherche la plus populaire, rembobine-t-il. Mais nous n’avions aucun moyen d’offrir aux utilisateurs exactement ce qu’ils cherchaient : une image de J-Lo portant cette robe. C’est ainsi qu’est né Google Images ». Le moteur de recherche iconographique est finalement lancé en 2001, avec 250 millions d’images consultables.
  • Willow : Charles Arthur, journaliste au Guardian, raconte dans l’ouvrage Digital Wars : Apple, Google, Microsoft and the Battle for the Internet que Willow, personnage récurrent de la série Buffy contre les vampires et interprété par Alyson Hannigan, fut la première à utiliser l’expression « Googler quelque chose » à la télévision. C’était en 2002.

 

  • X : anciennement baptisé Google X Labs et filiale d’Alphabet, maison-mère de Google, X est fondé en 2015 pour « créer des technologies radicales permettant de résoudre les problèmes les plus complexes de l’humanité », d’après la page d’accueil du site vitrine. L’entreprise a notamment travaillé sur les lunettes connectées Google Glass ou sur le développement de voitures autonomes.
  • Yahoo : à l’aube des années 2000, Yahoo! tente de s’offrir le moteur de recherche dominant contre la coquette somme de 3 milliards de dollars. Mais l’offre est jugée insuffisante par les dirigeants de Google, qui estiment alors la valeur de l’entreprise à 5 milliards de dollars. En 2023, Yahoo! est utilisé par 2,59 % d’utilisateurs.
  • Zerg Rush : il s’agit de l’un des nombreux easter eggs de Google qui permet, concrètement, de reproduire la stratégie issue de Starcraft en saisissant la requête Zerg Rush dans la barre de recherche.

Anecdotes lâchement reprise depuis : Google de A à Z : histoire, faits marquants et anecdotes méconnues

Dix outils cachés dans le moteur de recherche

Je vais vous présenter quelques fonctionnalités cachées du moteur de recherche…

 

Tester sa mémoire avec un petit jeu caché

En tapant « pi » dans la barre de recherche, une calculette s’affiche avec le nombre 3,14. En cliquant sur le signe Pi en haut à gauche de la calculette, Google vous invite à débuter un jeu de mémoire, où vous devez réussir à vous souvenir du chiffre Pi. Cela commence par 3 chiffres, puis 4, 5,6, etc. À vous de jouer !

Tester votre vitesse de connexion Internet

Google vous permet de vérifier votre débit Internet en moins de 30 secondes, et vous indique à la fin du test, si votre connexion Internet est rapide ou non.

Mots clés à saisir dans Google : test vitesse internet

Jouer à Pac-Man et d’autres jeux

Google est aussi le roi pour cacher des jeux sur son moteur de recherche (les fameux easter eggs). Pour les nostalgiques des années 80, vous pouvez saisir le mot « pac-man » dans la barre de recherche et jouer à votre jeu d’enfance. D’autres jeux sont disponibles sur Google tels que le Jeu de morpion, le Démineur, le Solitaire, etc. Sous le bouton bleu Jouer de Pac-Man, cliquez sur la flèche pour afficher d’autres jeux. Et si vous souhaitez jouer au célèbre dino qui s’affiche lorsque vous n’avez plus de réseau, rendez-vous sur chrome://dino.

Mot clé à saisir dans Google : pac-man

Convertir ce que vous voulez : monnaie, gramme, mètre…

Google est un véritable convertisseur ! Vous souhaitez connaître combien font 10 euros en dollars ? Rien de plus simple avec Google, il suffit de saisir « convertir 10 euros en dollars » et Google fera le travail pour vous. C’est valable également pour les unités de mesure : masse (kilogramme), longueur (mètres), etc.

Mots clés à saisir dans Google : convertir + les mots clés

Lancer un tirage au sort

Vous avez besoin de lancer un tirage au sort de façon rapide ? Vous pouvez passer par l’outil Spinner de Google. Vous avez une option en haut à gauche pour choisir combien de nombres vous souhaitez. À savoir : si vous cliquez plusieurs fois sur l’option Spin, la roue tournera de plus en plus vite.

Mot clé à saisir dans Google : spinner. Vous devez bien activer l’option Number en haut à droite car sinon vous verrez juste apparaître un hand-spinner (moins utile) !

« https://www.blogdumoderateur.com/google-10-outils-caches/

La suite est en cours de rédaction…

Gmail, Google Docs, Slides, Sheets, Meet et Chat : ce que l’IA va changer pour vous

Voici comment Google applique l’IA générative dans Google Workspace.

 

Google Workspace va bénéficier de technologie d’IA générative. Google a en effet annoncé qu’une version bêta de son IA générative serait déployée sur ses outils en ligne regroupés dans Google Workspace, auprès de testeurs dans un premier temps. L’IA transformera la façon dont les gens utilisent les applications Gmail, Google Docs, Slides, Sheets, Meet et Chat, promet Google

Gmail et Docs vont écrire pour vous

Avec ces nouvelles fonctionnalités de Google, l’IA générative vous aidera à écrire encore plus et mieux, avec moins de contexte. Vous pouvez saisir un sujet dans Gmail et Docs, et le reste sera rédigé pour vous.

Par exemple, dans un billet de blog, Google suggère que les responsables du recrutement pourraient utiliser cette nouvelle fonctionnalité pour rédiger un courrier électronique de bienvenue à l’intention d’un nouvel employé. L’IA rédigera l’e-mail en quelques secondes ; il ne vous restera plus qu’à l’adapter à votre style d’écriture, à votre ton et à votre voix.

Dans un long fil de discussion, vous pouvez demander à l’IA de résumer votre conversation. Sur la base de cette conversation, vous pouvez vous rendre dans Docs et demander à l’IA de rédiger un dossier ou une campagne complète. Vous pouvez adapter le ton et la voix à vos objectifs professionnels et à la culture de votre entreprise.

Les présentations Slides seront générées automatiquement

Les nouveaux outils peuvent ensuite construire une présentation Slides d’accompagnement sur la base de ce que l’IA a écrit dans votre brief. En fonction du contenu écrit du diaporama, les images, les thèmes et les couleurs peuvent être adaptés de manière unique à la présentation. Dans la présentation, l’IA peut rédiger vos notes.

Dans Google Sheets, les utilisateurs pourront créer des messages personnalisés dans la feuille de calcul à l’intention des clients ou des collaborateurs au sujet du dossier ou de la campagne.

Messages de chat personnalisés et flux de travail Meet

Dans le chat, vous pourrez demander à l’IA de créer des messages personnalisés à l’intention d’individus ou d’une équipe pour les remercier de leur participation. En fonction de ce que vous pensez du message créé, vous pouvez demander à l’IA de le réécrire pour l’étoffer, d’y ajouter des puces, de le raccourcir, de le rendre plus formel ou d’utiliser l’option « Je me sens chanceux » de Google pour un ton aléatoire.

Google Meet permettra aux utilisateurs de créer des flux de travail afin d’accroître la productivité dans les conversations formelles et professionnelles.

Il y a beaucoup de futur dans cet article, nous attendons avec impatience le déploiement de ces fonctionnalités…

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